Dans les années 2000, est apparu le Surf-Foil, et il y a beaucoup de grands noms dans ses prédécesseurs. À l’origine, c’était juste un moyen de survoler l’eau dans de grosses vagues entraînées par les vagues. Le sport a immédiatement conquis les surfeurs d’Hawaï, d’Australie, de Californie et du Brésil. Les niveaux montent en flèche. Petit à petit, les surfs foils ont gagné la France et l’Europe. Les avantages principaux du foil sont qu’il augmente le nombre possible de sessions, de spots praticables et apporte une nouvelle sensation. Dans cet article, on expliquera le fonctionnement du surf foil avec ses différentes parties, puis on détaillera l’importance des caractéristiques d’une aile avant.
Un foil de surf : composition
Le foil se compose des éléments suivants : fuselage, mât, ailes avant et arrière qui sont les stabilisateurs.
Le mât est fixé perpendiculairement à la planche de foil et au fuselage. Par conséquent, les ailes sont parallèles aux plaques. De cette façon, le foil peut être sollicité par une simple pression du pied. L’aile avant possède une partie supérieure incurvée ou aile extérieure et une partie inférieure plus plate ou aile intérieure. Les ailes avant ont un bord d’attaque arrondi, et s’épaississent rapidement, puis se rétrécissent et le bord de fuite s’amincit. La largeur de l’aile qui est en avant est appelée corde ou la largeur du centre du bord de l’attaque au centre du bord d’une fuite. La longueur de l’aile avant ou extrémité droite/gauche est appelé envergure. Enfin, la forme du stabilisateur est très proche de l’aile avant, avec les mêmes caractéristiques. Cependant, il a un profil différent et une surface réduite. Pour plus d’informations, veuillez cliquer sur srokacompany.com.
Principes de fonctionnement du Foil
Les foils de surf fonctionnent sur le principe de l’hydrodynamisme. Vers le haut, est tirée l’aile avant, à mesure qu’elle avance, puisque les molécules d’eau traversant la surface supérieure de l’aile avant sont accélérées pour rattraper des molécules de l’eau traversant la surface inférieure qui est plus courte parce qu’elle est plate. L’accélération des molécules dans la partie supérieure d’une aile crée une dépression, tandis que la décélération des molécules inférieures crée une surpression. Le résultat est un effet d’aspiration qui est vers le haut. Plus la vitesse du foil est élevée, plus le foil est « tiré » vers le haut au même profil et angle. Si on oublie les mâts et les plaques, on peut facilement comparer le fonctionnement du foil à celui d’un avion ayant sensiblement la même forme. La vitesse du mouvement fait confiance à une portance et permet qui permet de décoller. La différence angulaire conférée aux ailes d’un avion va lui permettre de se stabiliser dans les airs. Une réduction d’une vitesse de déplacement réduit la portance, permettant à l’avion d’atterrir à un angle d’incidence constant. Enfin, afin de modifier l’angle d’incidence des ailerons, un ridé peut monter ou descendre les ailerons ou la stabilité en alternant des pressions sur le pied avant ou arrière. Tout est une question de pression sur le support. Pour décoller, la vitesse du foil doit être suffisamment élevée pour générer de la portance sur les ailes avant. Combiné à un fort angle d’incidence dû à la pression sur votre pied arrière, la planche foil prend son envol. Pour la stabilité, la pression sur la jambe d’avant réduit l’angle d’attaque, ce qui soulève et accélère la portance.
La houle peut être une source d’énergie
Si l’avion utilise l’attraction des molécules d’air, un foil attirera les molécules d’eau, qui sont beaucoup plus denses que l’air. La densité va encore augmenter la portance du foil avec la vitesse ou l’effet ventouse vers le haut.
L’utilisation du mouvement de l’eau : vagues, houles, sillages de bateaux, creux, pour voler. Contrairement au vent qui permet à un cerf-volant ou à une aile d’utiliser une force constante hors de l’eau, le mouvement de l’eau des ondes pour les vagues est une force variable, avec la zone de portance positionnée précisément sur le plan d’eau. Ainsi, un pratiquant de surf foil doit s’allonger sur une planche avec foil en dessous et ramer pour attraper la vague. En SUP Foil vous commencez tout droit et ramez avec la pagaie pour attraper la vague. Une fois que vous êtes sur la vague, l’accumulation de vitesse créée par la pente de la vague et permettre le décollage.
Principe des Foils selon un théorème
Comme la voile, le foil travaille sous pression. Pourtant, ce n’est pas une pression de l’air qui est en jeu ici, mais une pression d’eau. La forme profilée d’un foil signifie que le côté supérieur qui est bombé de ce foil est plus long que le côté plat inférieur, car il est incurvé. Selon un théorème, à la même altitude, la pression du fluide diminue lorsque la vitesse augmente et augmente toujours lorsque la vitesse diminue. De l’autre côté du foil, une vitesse du fluide est plus faible, donc la pression est plus élevée : c’est l’intérieur. D’autre part, la vitesse du fluide plus élevée et donc la pression est faible : c’est le débit.